4 février 2009
3
04
/02
/février
/2009
01:25
Pour apprivoiser mes peurs me glisser dans cet hiver froid, laisser pleurer les années lumières, et regarder ce ciel où je ne vois plus passer que des oiseaux noirs ...Si je te disais ce qu'est la peur, la peine d'un départ et le souvenir de deux grands yeux transparents où je me suis baignée quelques secondes détournant mon regard pour ne pas éclater en sanglots, peu fière de moi et si lâche ...
Sur des sentiers je cours échevelée traquant ce que je ne sais plus faire vivre et que l'on nomme l'espoir.
Sentier d'un paysage enneigé où ma fièvre règne en souveraine
Et si je revêts maints manteaux pour combattre froidure,
Je sens si fort le froid que mes yeux se perdent dans l'obscur.
Plus de ces grands oiseaux roses qui déchiraient mon ciel
Ce soir plus de rose en épines coquette dans le soleil,
Je vis de souvenirs, visages évanouis êtes –vous en sommeil ?
Près de mon cœur vous valsez sans pareil,
Et si je vous rappelle à chaque heure de ma Vie
C'est pour combattre l'effroi de ce qu'il nous ravit.
Celui qui fait de nous de fières combattantes
Jusqu'au jour où l'on baisse les armes un soir tout désespoir.
Ce que j'ai gardé de toi tu ne le sauras pas,
Toi mon amie partie si loin de tout.
Ce que je n'ai su faire pour toi je ne l'oublierai pas,
Rassurer ton pauvre corps torturé de douleurs,
Rayonner de bonheur calmant doucement ta peur.
J'ai caressé tes cheveux mais j'étais bien impuissante
Devant ton regard cherchant déjà l'ailleurs.
Ce que tu m'as donné petite âme si douce
C'est ta révolte masquée dans tes jours de torture.
Ce que j'ai gardé en moi c'est ton baiser à l'oiseau,
Celui que tu donnas pour m'apprendre la patience
Tandis que voletant il te donnait des ailes,
Et que tes yeux illunés rayonnaient de confiance.
Ce que je garde de toi non tu ne le sauras pas
Ce sont des souvenirs dis –moi es-tu bien arrivée,
T'a-t-il bien accueilli notre beau Petit Prince ?
Si oui envoie tes rires qui viennent des étoiles
Pour nous dire que là-haut c'est bien plus facile
Et que tu nous aimes toujours même dans ton exil.....
Toi tu restes en nous à jamais et ça tu le sais déjà !
Sur des sentiers je cours échevelée traquant ce que je ne sais plus faire vivre et que l'on nomme l'espoir.
Sentier d'un paysage enneigé où ma fièvre règne en souveraine
Et si je revêts maints manteaux pour combattre froidure,
Je sens si fort le froid que mes yeux se perdent dans l'obscur.
Plus de ces grands oiseaux roses qui déchiraient mon ciel
Ce soir plus de rose en épines coquette dans le soleil,
Je vis de souvenirs, visages évanouis êtes –vous en sommeil ?
Près de mon cœur vous valsez sans pareil,
Et si je vous rappelle à chaque heure de ma Vie
C'est pour combattre l'effroi de ce qu'il nous ravit.
Celui qui fait de nous de fières combattantes
Jusqu'au jour où l'on baisse les armes un soir tout désespoir.
Ce que j'ai gardé de toi tu ne le sauras pas,
Toi mon amie partie si loin de tout.
Ce que je n'ai su faire pour toi je ne l'oublierai pas,
Rassurer ton pauvre corps torturé de douleurs,
Rayonner de bonheur calmant doucement ta peur.
J'ai caressé tes cheveux mais j'étais bien impuissante
Devant ton regard cherchant déjà l'ailleurs.
Ce que tu m'as donné petite âme si douce
C'est ta révolte masquée dans tes jours de torture.
Ce que j'ai gardé en moi c'est ton baiser à l'oiseau,
Celui que tu donnas pour m'apprendre la patience
Tandis que voletant il te donnait des ailes,
Et que tes yeux illunés rayonnaient de confiance.
Ce que je garde de toi non tu ne le sauras pas
Ce sont des souvenirs dis –moi es-tu bien arrivée,
T'a-t-il bien accueilli notre beau Petit Prince ?
Si oui envoie tes rires qui viennent des étoiles
Pour nous dire que là-haut c'est bien plus facile
Et que tu nous aimes toujours même dans ton exil.....
Toi tu restes en nous à jamais et ça tu le sais déjà !