27 octobre 2007
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Laisse-moi t'approcher, t'apprivoiser...
Toi qui sans relâche poses des questions et attends la réponse la plus sincère.
Toi qui dans ce désert aride m'as fait découvrir un puits qui ne tarit jamais.
Toi qui dans cette vallée de larmes, oh combien mystérieuse,
m'as montré une fleur dont je me méfiais.
Elle avait tant d'épines que je n'ai su voir sa beauté, craignant de me blesser.
Elle m'a aimé sans rien dire, m'a laissé partir...
En laissant mes traces sur le sable,
combien de fleurs ai-je croisé sans les reconnaître ?
Et le soir tombant, je scrutais le ciel pour y retrouver parmi les étoiles,
celle qui m'avait aimé.
Je souriais en pensant à elle, elle était là, nichée au plus près de moi.
Et quand vint le dernier jour, je savais que cela serait le dernier,
le venin mortel me pris, je n'avais plus peur.
Tu étais là près de moi !
Tu m'avais appris la plus belle chose qui soit.
« On ne voit bien qu'avec le cœur »
Toi qui sans relâche poses des questions et attends la réponse la plus sincère.
Toi qui dans ce désert aride m'as fait découvrir un puits qui ne tarit jamais.
Toi qui dans cette vallée de larmes, oh combien mystérieuse,
m'as montré une fleur dont je me méfiais.
Elle avait tant d'épines que je n'ai su voir sa beauté, craignant de me blesser.
Elle m'a aimé sans rien dire, m'a laissé partir...
En laissant mes traces sur le sable,
combien de fleurs ai-je croisé sans les reconnaître ?
Et le soir tombant, je scrutais le ciel pour y retrouver parmi les étoiles,
celle qui m'avait aimé.
Je souriais en pensant à elle, elle était là, nichée au plus près de moi.
Et quand vint le dernier jour, je savais que cela serait le dernier,
le venin mortel me pris, je n'avais plus peur.
Tu étais là près de moi !
Tu m'avais appris la plus belle chose qui soit.
« On ne voit bien qu'avec le cœur »