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13 juin 2008 5 13 /06 /juin /2008 15:13
Quel est celui de nous qui n'a pas fait ce rêve égoîste de planter là un beau matin ses affaires, ses habitudes, ses connaissances et jusqu'à ses amis, pour aller dans quelque île enchantée, vivre sans soucis, sans tracasseries, sans obligations, et surtout sans journaux?
On peut dire sériuesement que le journalisme , cette première et dernière des choses, comme eût dit Esope, a crée aux hommesune vie toute nouvelle, pleine de progrès, d'avantages et de soucis.
Cette voix de l'humanité qui vient chaque matin à notre réveil qui vient nous raconter comment l'humanité à vécu la veille, proclamant tantôt de grandes vérités, tantôt d'effroyables mensonges, mais toujours marquant chacun des pas de l'être humain, et sonnant toutes les heures de la vie collective , n'est-ce pas quelque chose de bien grand, malgré toutes les taches et les misères qui s'y trouvent?
Mais en même temps que cela est nécessaire à l'ensemble de nos pensées et de nos actions , n'est-ce pas bien affreux et bien repoussant à voir dans le détail, lorsque la lutte est partout, et que des semaines, des mois s'écoulent dans l'injure et la menace, sans avoir éclairé une seule question, sans avoir marqué un progrès sensible.

Georges Sand(Un hiver à marjorque)



Je suis en train de lire ce livre de Georges Sand (livre qui raconte un peu l'hiver qu'elle passa avec Frédéric Chopin à la Chartreuse de Valldemosa en 1838/1839.....
Force est de constater que l'esprit critique est développé et non sans intérêt....Pour l'époque en effet Georges Sand fut une des premières femmes à mener une vie indépendante avec une énergie fascinante...
Cette critique du journalisme est intéressante car le matin très souvent il est vrai nous sommes assaillis et ce dès notre lever par des informations médiatiques que nous subissons pas toujours de notre plein gré....Bien souvent il m'arrive de dire à celui qui partage ma vie que cette agression matinale de mauvaises nouvelles en tout genre est saturante et peu génératrice d'énergie....

C'est donc un peu rassurant de voir qu'il y a 150 ans une femme d'une autre époque a pensé elle aussi à dénoncer un peu les excès de la surinformation......

Textes protégés
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10 juin 2008 2 10 /06 /juin /2008 23:07
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Elle est partie une nuit le cœur dans ses mains quelques flocons de neige sur son sein .Ce pourrait être le début d’une belle histoire ou bien le début d’un roman écrit du plus profond de la détresse…Elle est partie celle que l’on pleure ce soir et que l’on ne verra jamais plus…A jamais clos ses jolis yeux, à jamais palies ses joues encore chaudes, et à jamais évanouie cette douce voix qui apaisait tous les tourments.

 

Sans jamais se plaindre, les yeux toujours tournés vers l’avenir et le combat  elle nous laisse bien seuls tous et toutes avec nos peines confondues…Elle est partie vers quoi , vers qui et vers quel ailleurs ? Sans bagage juste son petit cœur sous le bras  rayonnante d’Amour et d’idéal laissant le message dans un petit coffre que nous pouvons ouvrir à volonté pour nous souvenir de la consigne : continuer le combat au nom de l’Amour …Envolée la petite SUZ les ailes grandes ouvertes vers un ciel velours parsemé d’étoiles

Alors je me demande ce soir moi qui la connaissait si peu mais pourtant si bien -tant j’avais entendu parler d’Elle- oui je me demande si elle ne souffre plus et si elle repose délivrée de tout ce mal qu’elle a enduré.

 Suz trois petites lettres posé sur la portée de la vie, Suz une musique celle de la symphonie du combat, une couleur celle du sang rouge des batailles, Suz un cri celui de l’Amour et enfin un sourire celui de «  l’émerveille ».

 

Oui c’est émerveillée qu’elle a parcouru la Vie, frêle et forte sous les bourrasques et sous les levants incertains…Emerveillée la foi en drapeau, enflammée sous l’inflammatoire : courrons mes sœurs, battons nous et gardons l’Amour en horizon. Petite Suz par delà tes tourmentes, par delà tes souffrances, par delà le bien et le mal, par delà tes espoirs et tes désespoirs, comme le chemin fut long pas vrai ? Et si j’ai de la peine ce soir c’est qu’à cette heure vois-tu je te sais seule sans le réconfort  des bras de celui qui t’aimait et qui  le cœur giboulée te pleure ce soir .Et si j’ai de la peine aussi vois-tu c’est que je sais que tu n’es pas la dernière, que d’autres suivront comme toi cueillies en pleine jeunesse dans l’indifférence de ce fléau nommé cancer .Il nous attend , il nous guette et nous demande de donner ce que jusque au bout tu lui as refusé avec vaillance. Becs et ongles sortis Suz  la bataille fut rude et tu n’as pas démérité simplement tu es partie un peu en avance vers une liberté retrouvée dans le vent de l’éternité.

Tu es déjà si loin Suz, à  cette heure tu chemines vers autre chose, vers quoi je ne le sais pas et je me force à penser que ton futur sera .Et je me persuade aussi que rien ne meurt jamais, que la vie continue, que ton souffle nous porte en ce soir de juin…

Suz il faut que je te dise, si je t’écris ces quelques lignes c’est que vois-tu j’ai peur, peur de cet endroit inconnu où tu es à présent rendue et peur aussi de ne pas savoir aimer comme tu le fis si bien, je ne voudrais pas quitter cette terre sans avoir donné ce que toi tu donnas sans réserve…Suz il faut que je te dise aussi que je t’aimais même  sans  te connaître tout simplement…

Suz juste trois petites lettres pour un très grand passage sur terre et un départ bien trop tôt…Que ton voyage soit doux et ton sommeil paisible.

Elle est partie son petit cœur sous le bras vers l’invisible tandis que mon cœur bat.joelleb612

 

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29 mai 2008 4 29 /05 /mai /2008 23:42
ue
Lorsque les nazis sont venus
chercher les communistes
Je n'ai rien dit
Je n'étais pas communiste.


Lorsque ils sont venus
chercher les sociaux-démocrates
Je n'ai rien dit
Je n'étais pas social -démocrate.


Lorsque ils sont venus
chercher les syndicalistes.
Je n'ai rien dit
Je n'étais pas syndicaliste


Lorsque ils sont venus
chercher les catholiques
Je n'ai rien dit
Je n'étais pas catholique.


Lorsque ils sont venus
chercher les juifs
Je n'ai rien dit
Je n'étais pas juif.


Puis ils sont venus me chercher
Et il ne restait plus personne
pour protester.

Poème attribué à Martin Niemöller


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15 mai 2008 4 15 /05 /mai /2008 21:09
 

Il existe en chacun de nous une petite part de rêve, un peu de ce que l'on appelle la musique des Anges...Et comme ces Anges sont les messagers d'un monde d'Amour et de joies Catherine Bensaid enseigne que la musique des Anges c'est mon regard qui s'éveille à tout ce que je ne saurais su voir auparavant et qui me permettra de contempler la force joyeuse de la Vie des mondes d'en haut.....

"Regarde à l'intérieur des lumières.
Monte et monte.
Car tu possèdes une force puissante.
Tu as des ailes de vent, de nobles ailes d'aigle.
Ne les renie pas de peur qu'elles ne te renient.
Recherche les et immédiatement elles te trouveront.
( Le maître des lumières Baal Haorot)


Alors j'ai ce soir pris mes ailes de vent et laissé s'exprimer tous ces rêves......avec le regretté Pierre Rapsat...





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14 mai 2008 3 14 /05 /mai /2008 00:40
Dictateurs les plus sanglants du millénaire.Rummel, [7][8][9]. Les estimations de Rummel ne sont pas unanimement admises.
Dynastie Qing,
principalement l'Impératrice Cixi 1859-64,
Rébellion Taiping 12,000,000

Genghis Khan 1215-1233 4,000,000

Adolf Hitler 1933-1945 7,000,000

Tchang Kaï-chek 1927-1949 10,000,000

Kubilai Khan 1252-1279 19,000,000

Vladimir Lénine 1917-1924 4,000,000

Léopold II de Belgique 1885-1908 10,000,000

Pol Pot 1975-1979 2,000,000

Joseph Staline 1929-1953 11,000,000

Hideki Tojo 1941-1945 4,000,000

Mao Zedong 1949-1976 50,000,000 à 70,000,000





Dans les "invasions barbares", le héros du film explique que le massacre des indiens d'amérique fut le plus grand massacre humain. Est-ce vrai ? Quels sont les chiffres ?


REPONSE:
Compte tenu de sa durée, de son ampleur et de son indiscutable cause humaine, le déclin de la population indigène des Amériques n'a certainement pas d'équivalent dans l'histoire de l'humanité. Voici un résumé de l'ouvrage de David Stannard, historien américain de l'Université de Yale, American Holocaust, The Conquest of The New World :

For four hundred years--from the first Spanish assaults against the Arawak people of Hispaniola in the 1490s to the U.S. Army's massacre of Sioux Indians at Wounded Knee in the 1890s--the indigenous inhabitants of North and South America endured an unending firestorm of violence. During that time the native population of the Western Hemisphere declined by as many as 100 million people. Indeed, as historian David E. Stannard argues in this stunning new book, the European and white American destruction of the native peoples of the Americas was the most massive act of genocide in the history of the world.

L'estimation de la population à 100 millions de personnes à l'époque précolombienne est soutenue par plusieurs historiens qui établissent généralement une fourchette entre 75 et 100 millions. David Stannard estime à 95% le nombre de personnes décimées par l'arrivée des Européens sur le continent américain. Si nombre d'entre elles ont succombé aux maladies importées d'Europe, comme la varicelle, la rubéole et la variole, les autres ont été soit intentionnellement massacrées, soit réduites en esclavage et mortes de maltraitance. Il est difficile, cependant, d'évaluer la part respective de ces causes dans le déclin des populations, même si certains historiens rejettent également la responsabiblité des maladies sur les Européens, au même titre que les guerres et l'esclavage. (voir à ce sujet l'article de Wikipedia : Population history of American indigenous peoples).


Prière ojibwa
O Grand Esprit, dont j'entends la voix dans les vents et dont le souffle donne vie à toutes choses, écoute-moi.

Je viens vers toi comme l'un de tes nombreux enfants; je suis faible... Je suis petit.. j'ai besoin de ta sagesse et de la force.

Laisse-moi marcher dans la beauté, et fais que mes yeux aperçoivent toujours les rouges et pourpres couchers de soleil.

Fais que mes mains respectent les choses que tu as créées, et rends mes oreilles fines pour qu'elles puissent entendre ta voix.

Fais-moi sage, de sorte que je puisse comprendre ce que tu as enseigné à mon peuple et les leçons que tu as cachées dans chaque feuille et chaque rocher.

Je te demande force et sagesse, non pour être supérieur à mes frères, mais afin d'être capable de combattre mon plus grand ennemi, moi-même.

Fais que je sois toujours prêt à me présenter devant toi avec des mains propres et un regard droit. Ainsi, lorsque ma vie s'éteindra comme s'éteint un coucher de soleil, mon esprit pourra venir à toi sans honte.

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18 avril 2008 5 18 /04 /avril /2008 23:37
 Elle a ses p'tits cheveux qui s'font la malle,
Toutes ses bouclettes sont en cavale
La petite Rose aux yeux de ciel
La p'tite guerrière de l'arc en ciel.

Elle les supplie d'rester soyeux,
Elle leurs promet des soins joyeux
Masque et crèmes, massages huileux
Faut qu'ils reviennent ces ptits bulbeux.


Mais du profond de sa détresseTextes protégés
La petite Rose dans son jardin
Relève la tête et s'met en liesse
Pour faire oublier son chagrin.

C'est que pour elle ses bouclettes
Sont sa coquetterie retrouvée
Mais surtout que ses p'tites frisettes
Lui donnent l'air d'être en pleine santé.

Dans son jardin la petite Rose
Souvent se rêve jamais plus malade
Car les yeux froids des camarades
Détaillent tout, glaçants, jamais en pause...

Moi elle m'épate la petite Rose toute guerrière
Car sous sa frimousse sourire parfois éclate la colère.
Mais le chemin qu'elle nous fait prendre fait que nos jours sont de lumière.
Rebelle et fière sans sa tourmente, qu'elle est jolie !Sous ses paupières
Brillent mille feux de sagesse et de l'amour pour tous ses frères.
Elle m'émerveille la p'tite guerrière partie en croisade de VIE
Elle sent bon les matins bonheurs le courage malgré les dénis.

Elle a ses ptits cheveux qui s'font la malle
La petite Rose en son jardin
Alors je lui envoie mes je t'aime
Pour lui dire simplement :ROSE tu sais t'es bien ,
La plus jolie des petites fleurs connues ici sur terre
Le plus joli poème qui soit pour combattre l'enfer....
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15 avril 2008 2 15 /04 /avril /2008 23:45
Il existe en moi une toute petite pièce, celle ou vivent mes idées fugaces et les sentiments que j'ai éprouvés ...C'est un peu comme un grenier poussiéreux où vivent et perdurent les souvenirs joies et peines, espoirs et déceptions confondus....

Dans mon esprit donc ce grenier où j'ai laissé volontairement les toiles d'araignées tisser leurs toiles et les souvenirs pousser leurs longs vous souvenez-vous....De l'air de temps en temps pour aérer cette pièce de mon esprit .....Souvent je me dit il faudrait que je prenne le balai et que j'envoie au diable tous ces mauvais compagnons, il faudrait que je dresse une table neuve , que je change la nappe et que prenant mon courage à deux mains j'ouvre grand la fenêtre pour y faire entrer vent et lumière...

Le vent pour qu'il souffle puissamment sur ce qui doit disparaître et la lumière pour que la clarté entre en moi , clarté salvatrice pour des yeux devenus aveugles....Tel est notre monde aujourd'hui , nous sommes plus que jamais tournés sur nous même voués à l'individualisme et à cet aveuglement de l'esprit dans une société qui nous promet carotte et certitude de tourner en rond sans autre forme de procès....

Alors que tout ici bas crie et meurs dans l'indifférence quasi générale je me dois de regarder froidement mon existence...Quoi après tout elle n'est pas si terrible que ça , ça aurait pu être mieux oui c'est vrai mais ça aurait pu être pire...Je suis malade et alors ? Le pire qu'est-ce que le pire par rapport au mieux, je ne sais pas......Alors dans mon grenier de l'esprit aujourd'hui je pense à certaines de nous, des petites malades qui se battent sans gémir avec courage, qui demandent la vérité lorsqu'on se dérobe et qui avance vers des lendemains qu'elles savent incertains...

Deviendront-elles ces petites Fleurs fauchées par la vie de gentilles petites mamies aux tempes argentées c'est en ce jour ma prière à celui à qui j'ai deux mots à dire et quand je dis deux mots c'est plutôt des phrases qu'il me faudra faire....La religion est l'opium du peuple à ce qu'il paraît ... Moi ma religion est la vie et je l'exige cette vie pour ces petites fleurs qui courbent leurs tiges toujours tournées vers ton amour , dussé-je le crier très haut : « dis l'éternel tu m'entends où quoi ...et vous pouvoirs publics m'entendez-vous aussi....Vous savez ce dont je veux parler , pas de simulacre, pas de faux semblants il nous faut de l'argent pour la recherche ....et des médecins en renfort car nos p'tites fleurs sont sous l'orage et la grêle , certaines en meurent... »...


Dans mon esprit il y a un grenier c'est vrai, j'y entasse pêle-mêle toutes mes peurs aussi, alors en cet après-midi les fenêtres battent volets grands ouverts, les objets s'animent et tout s'agite......et dans la transparence et les fils de la vierge irradiant le parquet je contemple ce qu'il me reste de force, de foi pour attraper un bouquet nouveau fait de prénoms,
:Rose, Celby, Larla, Cache,Cécile, Suz, et puis aussi Lysi, Mamounette, Marie-jo , et celles dont les prénoms me manquent à cette heure précise....Ce bouquet je le pose bien en vue pour qu'il éclaire mon grenier, comme elles sont belles ces fleurs d'AMOUR la tête légèrement inclinée sous le miracle de la VIE bataillant bravement leurs yeux tournés vers leur Victoire que je sais difficile mais certaine...

Alors en cet après-midi juste vous dire que je vous aime tout simplement...(''v'')
 Textes protégés
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12 avril 2008 6 12 /04 /avril /2008 00:45
...Comment vivre rebelle sous le joug de la mort qui avance,
Assurant chaque jour son triomphe dans la clarté du jour qui vient.
Comment défier et redessiner d'espoir les heures qui s'effilochent
Les heures tremblantes comme ces feuilles au vent balancées....
Textes protégés
Dans les sentiers égarés je suis voleuse de feu,
Dans les rêves couleur du temps je croque à pleine dent pour oublier.
Oublier mon temps compté et tes dents faites pour dévorer.
Oublier tel sera ton bon plaisir sous le vertige de ma vie dévastée.
Oublier ce que je suis larmes d'orage versées
Sur mes demains d'errance toujours par toi chavirée.


Mon cœur n'est plus ici, ci-gît dans des jours linceuls ailés
Ma vie n'est plus ici, elle se perd contrecœur de l'espoir déchiré..
Alors doucement ne rien dire et laisser s'échapper
Les brûlures qui font mal sous l'armure toujours étincelante
Dans le froid, dans le vent, sous le regard d'un temps giboulée.

Quand tel sera mon bon plaisir j'arracherai mes ailes brisées.
Quand tel sera mon bon plaisir j'oublierai ton nom à jamais
Nécessité du vide dans le silence de mes jours fracassés.


J'entends oui je les entends alors ces mots qui hurlent dans ma tête
Ils s'écoulent en ruisseau jamais taris sous mes yeux couleur drap froissé
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11 avril 2008 5 11 /04 /avril /2008 22:07
L'étoile polaire est loin de nous.....
Elle est à 570 années lumière
Et elle est 3 fois plus grosse que le soleil.
Le côté merveilleux c'est qu'on peut la voir d'ici-bas
De notre terre familière avec nos petits yeux d'humain.
Y a-t-il des planètes habitables tout près de l'étoile polaire ?
La distance, hélas, est longue mais comme le rêve est grand !
Et une chose est certaine, c'est que je ne pourrai m'y rendre
Que par la pensée mais c'est déjà tellement fou.
La pensée est la tête chercheuse de tout mon être
Je peux l'envoyer aux 4 points cardinaux et dans toutes les galaxies
Vous savez bien: "mon terroir c'est les galaxies"...
Qu'il fait bon s'y balader des nuits entières
Et combien je remercie ma mère et mon père
De m'avoir donné 5 sens
Et cette constatation me met sans dessus dessous.
Je suis en état de remerciance totale pour toutes ces merveilles.



Julos

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8 avril 2008 2 08 /04 /avril /2008 13:11
Sourire... c'est prendre le risque de paraître ridicule
Pleurer... c'est prendre le risque de paraître sentimental
Tendre la main vers l'autre... c'est prendre le risque de s'impliquer.
Faire voir ses sentiments... c'est prendre le risque de montrer son véritable soi.
Étaler ses idées, ses rêves devant la foule...
c'est risquer de ne pas être aimé en retour.
Vivre, c'est risquer de mourir. Espérer, c'est risquer le désespoir.
Essayer, c'est risquer l'échec.
Mais les risques doivent être courus, parce que le plus grand risque dans la vie, c'est de ne rien risquer.
La personne qui ne risque rien ne fait rien, n'a rien, n'est rien.
Quelqu'un peut éviter la souffrance et le chagrin, mais ne peut alors apprendre à ressentir, à changer, à grandir, à aimer, à vivre.
Enchaîné par les certitudes, l'individu est un esclave qui a renoncé à la liberté. Seul l'individu qui risque est vraiment libre...........

Auteur inconnu

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